Dans le miroir, ce matin, Mezzig constate qu'il a de plus en plus de poils disgracieux qui lui sortent des oreilles. Et presque autant des trous de nez.
Si comme il ne se lasse pas de le répéter, Li Pouiye c'est quelqu'un dans une peau de chien, d'ici peu, on ne manquera pas de sous-entendre que, derrière le maître, se cache peut-être un chien dans la peau de quelqu'un.
Après ça, qui oserait encore défendre le moindre principe d'inégalité entre les espèces? Mezzig ne s'opposerait pas à faire connaissance, qu'on se fende la truffe cinq minutes.
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