En apnée. Concentré. Résolu. Prêt à en découdre avec n'importe quel ourlet, Mezzig est en première ligne.
L'affluence du samedi. Les vendeuses débordées. L'étouffe chrétien des cabines d'essayage. Les files d'attente à la caisse. La potée de paquets à se colleter à bout de bras, rien ne le fera flancher.
Sur le pont dès l'ouverture, Mezzig furette. Traque la remise. La ristourne. Le diskounte. Piste sa taille. La coupe idoine. Le modèle ad hoc.
Mezzig est en nage. Rien ne lui va. C'est trop grand. Trop cintré. Mal coupé. Délavé.
Ou c'est encore trop cher. Il reviendra quand les prix auront baissé.
Tout compte fait, on est économe ou on ne l'est pas. C'est toujours ça de gagné: Mezzig n'a pas craqué!
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