Entre deux séances de tatouage, deux papouilles, deux lampées de vodka, Kraine rassemble ses abattis, déterre ses outils, se retrousse les manches et déboule tailler tout ce qui bouge dans le jardin.
En deux temps trois mouvements, c'est l'hécatombe. Le lierre qui foisonne. Les rosiers qui prospèrent. Les massifs qui surabondent. Les branchages qui pendouillent. Tout y passe.
A ce propos, Mezzig ferait pas mal d'en faire autant au lieu de se regarder pousser le nombril: ça frise le capharnaüm de son côté. C'est même limite envahissant. Il faudra qu'il lui signale.
Dans l'immédiat, l'urgence c'est de se débarrasser de toute cette verdure à la ramasse. Pas vraiment le temps de végéter. Sinon, c'est de l'abandon de compost.
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