On a dormi. On a dormi beaucoup. On a dormi longtemps. On a dormi tellement que le matin Madame était épuisée de sommeil. A tel point que si elle avait pu, elle aurait dormi encore.
Solidaire dans l’effort, Mezzig n’a pas ménagé sa peine pour lui prêter main-forte et l’assurer de son soutien sans faille. Une adhésion qu’il s’est fait un devoir de rendre indéfectible en s’éternisant sous la couette pour saluer le courage de Madame repartie travailler aux petites heures.
Mezzig défie quiconque de lui prouver le contraire: à condition d’être bien compris, l’esprit de corps est sans limites pour qui fait montre de bonne volonté.
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