vendredi 27 avril 2012

Pudeur tardive

Dans le quartier, les choses ont bougé. Enfin, les choses: les gens surtout, parce que les choses, si personne ne les déplace, en principe, elles restent là où elles sont.

Y'a bien quelques malins, la nuit, pour mettre la pagaille à l'heure où  ça n'est pas indispensable mais, dans l'ensemble, rien d'alarmant.

Le fait est que ça n'est pas toujours facile d'avoir des tonneaux de problèmes existentiels, un sacré coup dans le nez, et de le faire savoir à ceux qui dorment, l'instant de se sentir moins abandonné.

Mezzig n'ira pas jusqu'à se vanter d'avoir été toujours irréprochable au temps jadis, bien qu'il tienne absolument à rester discret sur ce point pour ne pas prêter à confusion.

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