A l'œil nu, l'éclairage a changé. Entre les masses sombres à l'horizon, des échappées de lumière rousse et rasante dans les branches et sur les façades.
Kraine marche le nez en l'air. Des choses lui viennent en tête puis s'en vont. Il regarde les arbres. Les nuages. L'eau qui coule. Il y en a d'autres dans les allées. Des inconnus qui déambulent solitaires.
Couché dans la poussière contre la pile d'un pont, un matou décharné, roulé en boule, à bout de souffle. Kraine s'arrête.
Au pied d'un buisson, juste à côté, des fleurs fraîchement sorties de terre.
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