De la chambre, on pouvait voir le toit du camping-car garé sur le parking. Même s'ils ne se voyaient pas tous les jours, ils étaient un peu de la famille.
Une fois repartis sur la route, ça ne sera plus pareil: ça va faire comme un vide. Une présence en moins.
A la fois, Mezzig est content pour eux. C'est leur vie. C'est comme ça qu'ils se sentent bien. Mais ça le chagrine aussi.
On a beau faire l'oeuf, on n'en est pas moins cloche pour autant!
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