mercredi 15 octobre 2008

Ergo sum

En supposant qu’il sorte tout de suite, ce serait l’idéal. L’après-midi est à peine entamé: ça lui laisserait toute latitude pour faire ce qu’il a faire. En même temps, comme il n’a rien prévu de particulier, qu’est-ce qui l’empêche d’y aller après?


Pas grand chose à dire vrai, si ce n’est qu’il n’a pas très envie. Ni là, ni plus tard. Franchement, ça ne l’emballe ce qui s’appelle pas du tout.


Une autre fois, alors. Sauf incident particulier. Dans ce cas, le plus tôt serait le mieux. C’est à dire maintenant. A condition toutefois...


Que voulez-vous, il est comme ça, Mezzig: capable de rester cloîtré à se poser des questions existentielles indémêlables. Assez pour cogiter à l'infini!


Tout bien réfléchi,  c'est loin d'être le seul à qui ce genre de chose arrive. Vous en connaissez sûrement d'autres comme lui. Vous-même, peut-être... Mais n'entrons pas dans les détails.


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