Surtout qu'il ne se gêne pas. Pour arrondir ses fins de mois, se changer les idées, se rendre utile, ce ne sont pas les occases qui manquent. Mezzig n'a qu'à lui faire signe.
Perclus de reconnaissance, Mezzig s'arrange une mèche, passe d'une fesse sur l'autre, remonte ses chaussettes.
Ce n'est pas qu'il veuille jouer les difficiles, au contraire, il serait ravi de servir à quelque chose, mais il manque cruellement de compétences.
Dédé l'interrompt qu'il n'est pas plus sot que le Gamin. Qu'il devrait arrêter de se dévaloriser tout le temps. Qu'il est aussi capable que n'importe qui.
Trop aimable. N'en jetons plus. Tant va la cruche à l'eau et tutti quanti. Cet entretien l'aura mis sur les rotules. Mezzig préfère rendre son tablier. C'était bien tenté.
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