C'est jusqu'à minuit la moitié de la semaine. Les mercredi après-midi. Une partie du dimanche, parfois, et pendant les vacances, souvent.
C'est des pages et des pages à s'infuser. Des paragraphes entiers à déchiffrer. Des écheveaux de lignes à remettre d'équerre. Des fautes en pagaille à corriger.
Mezzig te balancerait ça du haut des marches, ça ne mettrait pas longtemps. Pour ce que ça rapporte.
Il n'est pas rare que Madame pique sa crise. Elle se rejoue la scène du jour où elle balancera sa démission. Hors de question de tenir jusqu'à la retraite: c'est la dépression assurée.
Solidaire, Mezzig s'offre de lui donner un coup de main. Sans résultat. Si en plus on ne lui fait pas confiance, comment voulez-vous qu'il s'en sorte!?
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