Une fois sorti, deux options se présentent: remonter la rue par la gauche ou la descendre en partant dans l'autre sens. Il n'y a pas de règle. D'ailleurs, descendre ou monter, ça ne signifie rien: la rue est aussi plate qu'un faux compliment.
Après, grosso modo, c'est le même parcours à chaque fois. A l'endroit ou à l'envers. On passe au pied des immeubles, entre les voitures en stationnement et le peu de pelouse disponible où dégourdir Li Pouiye. Retour le long de la voie de chemin de fer. C'est bouclé.
Par beau temps, Mezzig pousse jusqu'au jardin public, mais c'est une exception. Trop propret. Trop prout-ma-chère. Délicat de faire crotter la bête sans s'attirer les foudres du gratin.
En plus, Li pouiye à horreur des ballet-brosse à la noix et autres bichons de service.
Mezzig adhère: tous les derrières ne sont pas bons à renifler.
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