Dans telle rue, derrière telle porte, sur ce balcon, sur ce coin de trottoir, sous tel toit, les épisodes de sa vie sont ancrés. Il n'y a qu'à tourner les pages.
D'un côté, c'est troublant comme de marcher dans un décor de cinéma. Celui où l'on a tourné ses scènes les plus marquantes. Vu sous un autre angle, l'impression d'être pris au piège n'est pas loin. Pas moyen de quitter l'écran, d'échapper au scénario. Impossible de troquer son rôle contre un autre.
Mezzig ne serait pas contre un changement de costume pour une fois. Le sien est un peu râpé aux entournures. Passablement fripé itou. Il faudra qu'il en glisse un mot au producteur la prochaine fois.
Si au moins on lui disait qui c'est et à quoi il ressemble.
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