Dans le même temps, Mezzig soigne les muscles de sa main droite endolorie par il ne sait combien d'heures de suractivité, le doigt qu'il s'est malencontreusement entamé et bandé à la va-vite, ses bras marqués au rouge par les morsures d'épines (sans omettre ses crises de phobie alimentées par un surcroît de fatigue) en suivant les infos d'un oeil chafouin.
A ce propos, il trouve un peu raide que l'on fasse si peu cas de ces espèces en voie de prolifération qui profitent en toute impunité et traitent pire que des animaux le plus grand nombre.
Il n'y a pas d'autre mot, droit de l'hommise un Mezzig piqué au vif: c'est vraiment la Loi de la Junte!
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