Tout au fond, là-bas, l’alignement de cimes rocheuses, de monts et de collines recouvertes d’un vert tendre. Dans le ciel, haut perchés, les nuages s’étirent paresseusement. Un vent léger fait bruire les feuillages.
Assis dans l’herbe, adossé à un arbre, Dédé regarde le paysage à ses pieds. Il fait bon. Sans le moindre battement d’ailes, un oiseau de proie décrit de larges cercles au dessus des pâtures.
Un peu plus bas, le Gamin s’amuse à poursuivre des insectes en riant comme un perdu.
Voilà. C’est aussi simple que ça. Peut-être même qu’il n’y a rien d’autre.
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